Je crois que cet été ; enfin ce printemps même car ce top à été réalisé en mai (ahuum ! on ne se moque pas !) ; j’ai été contaminée par une nouvelle maladie « le dos nageur ». Je ne sais pas si c’est en réaction aux bretelles habituelles bien droite (qui nous laisse de vilaine marque de non-bronzage, et qui ont la fâcheuses tendance à glisser toutes les 2min) ou par ce que je préfère porter des soutien-gorge aux bretelles qui se croisent aux dos (type soutien-gorge de sportif – grande sportive que je suis !) ou plus simplement parce que je préfère mes épaules bien dégagées (c’est tout de même un brin plus féminin pour ne pas dire sexy !)
Quoiqu’il en soit cet été mon seul mot d’ordre était : « je déballe mes épaules ! » J’avais déjà bien débuté avec mes débardeurs (Tower-Bridge) et autre robe (château de ma mère) mais c’était sans compter sur un petit top en Liberty.
Quoiqu’il en soit cet été mon seul mot d’ordre était : « je déballe mes épaules ! » J’avais déjà bien débuté avec mes débardeurs (Tower-Bridge) et autre robe (château de ma mère) mais c’était sans compter sur un petit top en Liberty.
Alors bien sûr qui dit Liberty, dit Tatum (dois-je vous rappeler que c’est l’un de mes favoris) Mais cette fois c’est un Tatum rouge qui a subit une belle transformation. Et puis pour assagir un peu ce coton ardent les pièces de poitrine sont doublées d’un coton à carreaux blanc et moutarde. J’ai d’ailleurs fait un rappel de ce coton en bas du top.
Inutile de vous dire que ce top a fait amis-amis avec mes shorts, jupes et jeans cet été. Il a même enflammé le dance-floor d’un Petit Pavillon !
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