Comment faire la sourde oreilles aux appels de mes cousins ? Comment ne pas leur faire plaisir, en leur réalisant une chemise à chacun ? C’est qu’ils savent toucher la corde sensible ! Ils faut croire que les caleçons offert l’année dernière pour leurs anniversaires ne leur suffisaient plus. Ou alors tout homme qui essaie un caleçon « aime comme Marie » se doit d’avoir sa chemise (avec du Liberty… biensûr) (je vais peut-être arrêter de faire des caleçons, moi !)
Voici 2 chemises réalisées dans le même tissu (tissu chemise Hermés) mais pour ce pas qu’elles soient exactement identique (vous connaissez mon horreur pour les doublons) j’ai utilisé 2 Liberty différents pour les parties cachées (la Marie touch‘) ET (histoire de me prendre un peu la tête, sinon c’est trop facile) j’ai utilisé les 2 faces du tissus. Une est coupée sur l’endroit et l’autre sur l’envers. Alors oui, il n’y a que moi qui voit cette différence très (trop) subtile, mais quand même. Comme ça elles se ressemble encore moins !
Petites variante par rapport aux précendentes chemises réalisées, le col est légèrement plus court, et son angle est plus obtus. Après renseignement pris chez les grands couturiers, il semblerait que ce genre de cols conviennent mieux aux ports de cravate (pour les hommes modernes et à l’affût de ces détails qui font la différence – il faudra un jour que je vous parle de tous ces petits détails qui font la différences entre chemise industrielles et chemise faites mains)
Je suis sûr que vous avez aussi remarqué les différents boutons !!!
La partie que je préfère sur les chemise (après le col) : les pattes de boutonnages et les bracelets de manches. J’aime monter ces petites pièces de tissus et faire de jolis points bien droits et réguliers.
Pour les voir portées il va falloir attendre que mes chers cousins se prennent en photo !