Je vous en avais parlé, il y a quelques jours déjà… Le fameux gilet court au point mousse (celui que l’on voit un peu partout). Il n’y avait pas de raison que je n’ai pas le mien. Surtout que, grâce à Audrey, j’avais la laine parfaite (bien épaisse, douce, et blanche).
Oui, mais voilà, ce n’est pas tout d’avoir la laine, encore faut-il savoir compter les rangs et ne pas se tromper sur le nombre de diminutions… (pas fute-fute Mama sur ce coup là !) Alors après avoir tricoté, détricoté et retricoté le coté droit (parce que pour le dos, ça va ! j’ai réussi en une fois), il a fallu rester bien concentré pour le côté gauche… Bon, en une soirée (ou 3 épisodes de Dr House) les 2 devants étaient finis.
Mais c’était sans compter sur ma spécialité : « Le presque-fini ». Il m’a fallu 5 jours pour assembler les 3 morceaux (c’te honte!)
Oui, mais voilà, ce n’est pas tout d’avoir la laine, encore faut-il savoir compter les rangs et ne pas se tromper sur le nombre de diminutions… (pas fute-fute Mama sur ce coup là !) Alors après avoir tricoté, détricoté et retricoté le coté droit (parce que pour le dos, ça va ! j’ai réussi en une fois), il a fallu rester bien concentré pour le côté gauche… Bon, en une soirée (ou 3 épisodes de Dr House) les 2 devants étaient finis.
Mais c’était sans compter sur ma spécialité : « Le presque-fini ». Il m’a fallu 5 jours pour assembler les 3 morceaux (c’te honte!)
Mais ça y est ! Je l’ai mon gilet court au point mousse ! Et j’ai même profité d’une virée mère/fille, à la Mosquée de Paris pour le prendre en photo. (Quelle chance !)