Bon je vous l’accorde le jeux de mot était facile. mais en vrai, je ne suis pas aussi joueuse que Guillaume Canet et Marion Cotillard dans « Jeux d’enfants« . D’ailleurs cette cape, je l’ai commencé l’hiver dernier. Quasi un an qu’elle attend d’être raccourci de 20 bons centimètres, et ces boutons…. (on peut dire que j’ai pris mon temps !) Pour ma défense, je me suis bien cassée la tête pour la doublée. C’est beaucoup plus difficile de doubler une cape qu’une veste (beaucoup plus !) Je crois d’ailleurs que c’est pour ça que je l’ai lâchement abandonnée tout ce temps. J’avais passé trop de temps à la doubler… j’en pouvais plus de la voir ! (pour info je l’ai doublée de plumetis bleu marine)
J’avais en tête une idée bien précise de ce que je voulais. Une cape simple mais avec un caractère. J’ai donc choisi un lainage Gérard Darel (qui a un petit côté écossais) dans les tons bleu/gris/camel (j’ai eu du nez en achetant ce tissu en novembre dernier)
Bon soyons honnête, une cape n’a rien de super pratique, et ça ne tient pas super chaud. C’est une pièce de mi-saison qui malgré tout confère tout de suite un look sympa au plus basique jean+pull+botte.
Après plusieurs essayes pour porter mon sac (dessus ou dessous la cape ???? grande question) j’ai opté pour la version dessus.
Deux grandes ouvertures pour les bras. Le plus difficile est de définir leur taille. Assez hautes pour disposer d’une belle liberté de mouvements (important de ne pas se sentir engoncée), mais pas trop pour ne pas ressentir le moindre courant d’air (brrrrrr!)
Un col très classique, mais pour rompre avec la sobriété j’ai choisi de poser 6 boutons par paire.
C’est je crois LE petit détail qui me plaît.
C’est je crois LE petit détail qui me plaît.
Et vous, cape ou cape cet hiver ?